Espace Perecito



La última noticia que acabo de leer dice que el tipo se murió cagando.

¿Será "cagándose" en los demás?

¿Será "cagando" a los demás?

¿O será cagado en las patas?

Poco importa.

Lo cierto es que es una imagen maravillosa para guardar de un dictador, un hijo de puta que, cobardemente y creyéndose destinado a cumplir una misión, mató, robó, secuestró, torturó y fundió a un país. En una prisión, dentro de una celda, solo como un perro, los pantalones a rayas a la altura de los tobillos, muerto sobre el inodoro.

¿Tengo que alegrarme? ¿Es para tanto mi odio? ¿Debo festejar la muerte de alguien?

No sé.

Pero sí levanto mi copa y brindo por mi amiga la Parca que, aunque más no sea al momento de su vencimiento, uno a uno, sigue llevándose a los indeseables. (Para saber más leer Espace Perecito Semaine #14)

Lo que me entristece es que este monstruo existió gracias a la codicia: de dinero y poder. Y esa codicia, este sujeto no se la lleva. Queda. Otros monstruos y sus Doctores Frankenstein siguen de este lado rompiendo los huevos. ¡Por dinero! ¿Usted se da cuenta? ¿Pueden ser tan pelotudos?

Fuentes fidedignas nos han deslizado información secreta respecto al deceso del reo. Y Espace Perecito no puede privar a nuestros lectores del placer de conocer la verdad, por eso aquí les dejamos la imagen auténtica de lo sucedido al susodicho fiambre:

La dernière information que je viens de lire dit que le type est mort en chiant.

Serait-ce en chiant sur les autres ?

Serait-ce en faisant chier les autres ?

Ou serait-ce en chiant dans son froc ?

Peu importe.

Ce qui est sûr, c’est que c’est une image merveilleuse à garder d’un dictateur, un fils de pute qui, lâchement et se croyant destiné à accomplir une mission, tua, vola, séquestra, tortura et détruisit un pays. En prison, dans une cellule, seul comme un chien, le pantalon à rayures aux chevilles, mort sur les chiottes.

Dois-je me réjouir ? Ma haine va-t-elle jusque-là ? Dois-je célébrer la mort de quelqu’un ?

Je ne sais pas.

En revanche oui, je lève mon verre et trinque à ma copine la Parque qui, même si ce n’est qu’au moment de leur expiration, un par un, continue à emporter les indésirables. (Pour en savoir plus, lire Espace Perecito Semaine #14)

Ce qui m’attriste, c’est que ce monstre a existé grâce à la cupidité : la soif d’argent et de pouvoir. Et cette cupidité, ce sujet ne l’emporte pas avec lui. Elle reste. D’autres monstres et leurs Docteurs Frankenstein sont toujours là, à nous casser les couilles. Pour de l’argent ! Vous vous rendez compte ? Est-il possible d’être aussi con ?

Des sources sûres nous ont glissé une information secrète quant au décès de l’inculpé. Et l‘Espace Perecito ne peut priver ses lecteurs du plaisir de connaître la vérité, c’est pour cela que nous mettons ici à votre disposition l’image authentique de ce qui est arrivé au susdit macchabée :


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